La visite de Monsieur Ludovic


Il y a quelque temps, j'ai fait part à Maître Augure de mon envie de me faire mater en réel pendant l'une de nos séances. Il approuva mon fantasme et se mit donc à la recherche d'une personne fiable et sérieuse. Un Maître, lecteur de notre blog a contacté Maître Augure, en lui énonçant son désir et sa curiosité de voir une séance en vrai. Maître convenu donc d'un premier rendez-vous entre eux pour faire connaissance avec lui. Le contact s'est bien passé et Maître confirma la rencontre pour mercredi soir. 

Le jour venu, je fus assez stressée, mais impatiente d'y être. Monsieur devait arriver aux environs de 21H00.   Vers 20H30 mon angoisse était au plus haut. Mes yeux étaient rivés sur la pendule, regardant les minutes défiler. Je posai quelques questions à mon Maître.

- Maître. Comment dois-je lui dire bonjour? Dois-je le vouvoyer? Comment dois-je l'appeler? 

Maître Augure, m'aida un peu et voulut me mettre en situation en imitant Monsieur. 
Mais je n'arrivais pas à sortir un mot en le voyant s'approcher de moi et je me mis à pleurer car j'avais encore plus peur de mon Maître. 
Maître me calma et ricana discrètement en voyant mes larmes couler. 
Je réussis enfin à lui parler un peu. Mais le résultat restait un peu médiocre. Il me dit que ça ne servait à rien de stresser pour ça et que tout allait bien se passer. 

21H05 l'interphone retentît. Je sursaute. Mon cœur se met à palpiter. 
Maître Augure descendit l’accueillir en bas de l'immeuble. 
Pendant ce temps je restais assise. Dans ma tête je pensais à trop de questions.    
Comment est-il? Mes cheveux sont-ils bien coiffés? Ma jupe n'est-elle pas trop remontée? Mes bas font pas trop salope? Je ne vais pas n’emmêler les jambes et me ratatiner par terre devant lui à cause du stress? Vais-je réussir à l’accueillir? Ma tête allait exploser. 

J'entendis les pas se rapprochaient de la porte d'entrée. Je tirai une grosse latte sur ma cigarette pour évaporer un maximum mon stress. L'homme entra dans l'appartement. Je me leva pour le saluer. Il était plus grand que je l'imaginais ce qui me troubla encore plus. Je bafouillais un peu hésitant dans mes paroles. Je ne savais plus ou me mettre. J'aurais voulu être une mouche à ce moment-là. Monsieur se prénommait Ludovic. Je m'excusai auprès de lui de ma timidité. Maître me soulagea en reprenant la discussion.

Ils s'installèrent sur le canapé et Maître me demanda de servir des bières. Mes mains tremblotaient et mes jambes un peu aussi. Je me forçai donc à les contrôler. Je m'assis au pied de la table, levant quelquefois mon regard. Il m'étais impossible de regarder monsieur dans les yeux trop longtemps. Je suis beaucoup trop timide. 

Il discutèrent un petit moment...
Une fois ma bière terminée, Maître m'ordonna de pousser la table basse vers le fond de la pièce et de prendre la place de celle-ci. Il me donna deux petits coups de cravache pour me faire mettre correctement. 
Il prit le plateau et le posa sur mon dos, et ils continuèrent leur discussion. 
Maître me baissa ma robe et laissa apparaître mes seins, puis remonta un peu le bas. Sa main me titilla un peu le téton. J'étais déjà excitée. J'adore être utilisée comme un petit objet. J'aimais donc faire la table. 
Maître me cravacha un peu lorsque le plateau bougeait un peu trop. 

Maître Augure décida de montrer ses instruments à Monsieur Ludovic. Pendant ce temps j'étais toujours la jolie table du salon. 

J'étais très pressée que la séance démarre. Maître m'enleva le plateau du dos et m'attacha la laisse autour du cou, puis me promena dans l'appartement, sous le regard de Monsieur Ludovic. 
Il me remmena toujours à quatre pattes, jusqu'au salon et me demanda d'attendre à genoux. Monsieur Ludovic allait être aussi le photographe de la soirée

Maître prit la table basse et la mit perpendiculaire au canapé. Il m'ordonna de m'installer assise pour le moment sur table. Il voulut prendre ma robe pour me bander les yeux. En commençant son bondage ma robe ne tenait pas. Il essaya quand même de la remettre en vain. Je lui proposai donc de prendre ma taie d'oreiller. En fait j'adore les taie d'oreiller. et au moins elle ne risque pas de tomber ^-^.
Le bondage des mains terminé, Maître me demanda de mettre les mains derrière la tête et joua un peu avec ma petite chatte je ne pouvais pas voir, le regard de Monsieur Ludovic mais je l'imaginais très bien et c'est très excitant de se savoir regardé et d'entendre tout ce qu'ils peuvent dire. 

Il continua de me bonder les jambes comme une petite grenouille. Je profitais qu'il soit un peu occupé avec mes jambes pour relâcher un peu mes bras. Une fois que je fus transformée en petit rôti Maître me rallongea et m'attacha la corde des mains, aux pieds arrière de la table. 
Mais je suis une soumise qui aime bien tester la solidité de mes liens et la corde n'était pas assez tendue. Elle ne tirait pas assez mes bras en arrière. Je retirai aussi la taie d'oreiller qui me tenait bien trop chaud. En voyant ça Maître eut l'idée de relier la corde de mes mains à mes talons, puis reprît la taie et la remit fortement sur ma tête.










 Monsieur Ludovic s'absenta quelques minutes pour aller aux toilettes. Pendant ce temps je menaçais Maître Augure de crier et d'alerter tous les voisins. Il rigola. Au retour de Monsieur il lui raconta ce que j'avais dit et ils dirent que ce n'était pas grave que j'allais devoir porter un bâillon pour qu'ils soient tranquilles. Ah non pas le bâillon. Maître voulut me le mettre et je me fermai ma bouche. Il me regarda et commença à poser sa main sur mon téton. Il n'eut à peine le temps de pincer que j'avais déjà ouvert la bouche. 

Maître prit un stylo et écrit sur l'intérieur de ma cuisse et sur le côté de mon dos. Il me demanda si je savais c e qu'il y avait d'inscrit. J'essayais de répondre "salope" mais avec le bâillon on ne comprenait rien. Ils ricanèrent en me faisant répéter.

Maître alluma des bougies et les laissa un peu chauffer. Il me frappa le clito avec la cravache. Cela me faisait gémir.

Je l'entendis d'approcher de moi. Il fit couler de la cire en parcourant mon ventre.
Il sortit alors l'Hitachi de sa boîte. Rien que de l'entendre sortir du carton je mouille déjà de plaisir. Il continua de jouer avec la cire en alternant  avec l'Hitachi en l'arrêtant par moments, en faisant attention a ce que je ne jouisse pas.Mais même en petite quantité l'Hitachi me fait monter au plafond. J'eus donc joui. Mais pas le temps d'avoir un orgasme.
 La chaleur de la cire était enivrante. Je faisais abstraction de tout ce qui ce passait autour. jusqu'au moment où Maître sortît le fouet bleu. Je le déteste mais essayai de l’apprécier au mieux. Mais ce soir-là il ne fut pas si terrible que ça. Il continua encore en alternant cette fois-ci l'Hitachi et le fouet. Je n'en pouvais plus. Je sentais mon corps brûlant ne demandant qu'une seule chose de faire défoncer.
Il se réinstalla sur le canapé tout en continuant de jouer un peu avec l'Hitachi pour me garder bien chaude.

Maître ne m'a pas laissé la chance d'avoir un orgasme, heureux de me voir frustrée et excitée comme une grosse chienne en chaleur.

Maître s'arrêta et fuma une cigarette. il l'a prit et commença à me  brûler avec. Je sursautai et poussais des cris de douleur en grognant et essayant de me débattre. Plus je souffrais et plus cela les amusait. Je me sentais comme une petite souris impuissante face à deux chats.

Il se releva et me détacha enfin les jambes, mais j'imaginais bien que la séance n'était pas terminée car il discutait avec Monsieur de l'idée de mettre la table "comme ça". Mais sans voir ça ne me parlais pas beaucoup. Profitant de l'occupation de mon Maître et que je sois presque libérée, je glissai les mains entre mes jambes pour me caresser un peu. Monsieur Ludovic demande à Maître Augure si j'ai le droit de me toucher en temps normal. Maître lui répond que non. Il lui dit qu'il posait la question car j'étais à l'instant même en train de me caresser. Maître m'autorisa un peu à le faire. Je n'eue pas le temps d'en profiter longtemps...

















Maître m'aida à me relever puis à me remettre à me mit à quatre pattes par terre face au canapé. J'avais toujours ma taie d'oreiller sur la tête. Il avait collé un gode ventouse sur la table et m’empala la chatte dessus.Il me clipsa aussi les pinces à seins Je ne voyais toujours pas Monsieur Ludovic mais j'entendais ces commentaires par moments et sentais son regard. Maître me demanda de jouer avec le gode et il me cravacha en même temps
Il m'enleva enfin la taie qui était sur ma tête et se plaça face à moi, installé sur le canapé à me regarder en me regardant prendre du plaisir. Il m’ôta aussi le bâillon et m'autorisa à le sucer tout en me demandant de continuer de jouer sur le gode. Il me cravachait en même temps. Son regard m’excitait et la présence de Monsieur Ludovic aussi. 














Maître voulut que je termine en me mettant le gode dans le cul. Je n'étais pas très motivée et j'avais peur d'avoir mal. Il ne m'écouta pas et décida quand même d'essayer.
Il m'aida en m'écartant les fesses pour bien me l’enfoncer. J'avais mal et Maître prit l'Hitachi pour m'aider. Il ne fallut qu'une petite minute pour me faire changer d'avis et apprécier le gode qui me défonçait mon petit cul. Vers la fin je me traînais limite par terre tellement j'étais épuisée de jouir. 










J'ai beaucoup apprécier la présence de Monsieur Ludovic et je vous remercie d'être venu.

Bien sûr je remercie tout particulièrement mon Maître pour cette nouvelle expérience.