Une punition terrible


Je vous ai fait attendre et vous détestez cela.
Vous n'avez pas oublier de me corrigé le week-end arrivé.
Une latte suspendue à la barre de suspension.
Je me demandais ce que vous m'aviez réservé.
Vous êtes venu me chercher dans le salon en me demandant de me mettre à cheval sur celle-ci.
Mes pieds touchaient à peine le sol et je me tenais sur la pointe des pieds car si je m'appuyais la latte, j'avais encore plus mal au clito.
Assis sur une chaise votre café à la main je vous voyais regarder le spectacle avec un air amusé.
Vous rigoliez ce qui me faisait rire sauf que moi c'était les nerfs.
En effet je riais jaune.
La douleur devînt vite insupportable et je craquais rapidement,
J'essayais de me tenir avec mes bras sur la barre pour me soulager mais a chaque fois je m'épuisais et quand je relâchais la douleur était encore plus intense.
Vous rigoliez en me voyant vous suppliez !!
cette punition est une des plus douloureuse que j'ai reçue et la première qui m'a fait pleurer.
Elle m'a semblé interminable.
J'ai compris la leçon Maître la prochaine fois je ne vous ferai pas attendre.






Une petite momie



Vous m'avez emballée
Dans du papier cellophane


Au début je me sentais oppressé
je ne pouvais plus bouger
je m'entendais respirer
je n'osai plus parler
...
 la sensation à vite changé
Mon cœur c'est excité
La chaleur m'a enivré
Je me suis laissé abandonner

Ma gorge c'est desséchée
Mon esprit c'est vidé
Mes sens se sont mélangés
Oh!!
j'ai bien transpirer
j'en suis ressortie trempée
En bref j'ai adorer!

Maître Augure je vous remercie


Votre petite chienne Saaha!



Pour la santé...mais surtout pour le plaisir!



Une façon différente et artistique d'être attachée, L'extase était au rendez-vous.
Comme d'habitude l'imagination de Maître Augure est débordante. La séance commença avec un joli Shibari.


La position était plutôt originale mais contraignante. J'ai beaucoup de mal à tenir en place et cette posture imposée ne m'a pas trop laissé le choix. Mon Maître voulait me punir pour mon mauvais comportement avec les autres Maître , mais aussi pour mon attitude envers lui qu'il trouvait irrespectueuse.

Humiliation, douleur, et extase sont les adjectifs qui qualifieraient le mieux cette séance...


Attachée à quatre pattes les pieds relevés, les mains derrière la tête et les coudes au sol, tous attachés je ne pouvait point bouger. Dans ma tête je commençais à me faire des suppositions de ce qu'il allait m'arriver mais ça ne restait que des hypothèses.
Il alla sur internet pour trouver quelqu'un pour me voir me faire punir. Cette idée était humiliante mais j'étais quand même excitée de sentir un autre regard posé sur moi.


Maître Augure ne voulait pas que je vois ce qu'il se passait. Il me banda les yeux avec mon écharpe. J'étais envahie encore une fois par cette horrible sensation d'entendre mais de ne rien voir. ne pas pouvoir bouger de ma position me procurait un sentiment de frustration. J'allais distinguer et interpréter chaque son, mais je n'arrivais pas à distinguer le moment ou il allait frapper. Je gesticulais déjà en entendant le sifflement de la cravache se préparant à m'infliger ses marques sur ma peau encore pâle.

La cravache et le fouet à tour de rôle cinglaient ma peau trop rapidement pour que je puisse me ressaisir entre chaque claquement. J'avais chaud et mon esprit se concentrait à essayer de distinguer les bruits afin de me me préparer à recevoir ses coups.

Enfin...! Il s'arrêtait. Je pouvais reprendre mon souffle...

Fausse joie Saaha ! Je l'entendais fouiller dans son sac afin de trouver une nouvelle petite torture.
Il s'amusait aussi à me donner des coups de brosse métallique sur les fesses. Je tremblais de douleur... je sentais les picots transperçant ma peau.

J'ai du faire mes excuses pour avoir mal parler aux autres Maître ainsi qu'a Maître Augure .
J'avais honte et une terrible envie de pleurer montait en moi mais je ne voulais pas craquer et j'arrivai encore à contrôler... !

Maître m'attacha des pinces le long de mon corps et sur les fesses...Aïe!!! Je pensais déjà à l'instant ou il allait me les retirées, la douleur saisissante qui laisseraient place en quelques secondes après à l'extase. Plusieurs punitions furent réunis dans cette séance.

La personne qui me voyait à la webcam devait bien rigoler...en tout cas en entendant les ricanements de mon Maître j'en déduis que oui.

Après cela Maître Augure me dît :

- Saaha tu te rappelle la dernière fois tu t'ai amuser à chauffer les mecs sur le t'chat...
en disant qu'il fallait manger des fruits et des légumes...
Combien Saaha 5 c'est bien ça qu'il faut par jour?

-Oui Maître mais je rigolais...je vous demande pardon!
je savais que ma réponse ne changerai rien et que la punition aura quand même lieu.


-Non Saaha c'est trop facile ! Tu ne va pas t'en tirer comme ça... !

Il partit chercher 5 fruits et légumes dans le frigo (une banane, une courgette, une endive, un concombre et une carotte), Ceux qu'il avait prît soin de me laisser choisir quand nous sommes allés faire les courses.
qu'il mit un par un dans ma petite chatte en me demandant à chaque fois si je reconnaissais ce qu'il me mettait. Là!! J'étais vraiment vexée mais excitée comme une petite chienne...
Il retira les pinces en même temps une par une ce qui me fût horriblement mal . La séance touchait à sa fin. J'étais épuisée et vide. Il me détacha enfin. Mon corps était encore tremblotant...et j'étais toute humide.







Cette séance me donna une bonne leçon et je pense que je ne suis pas près de recommencer ce que j'ai fait.
Je vous remercie encore une fois, Maître Augure pour m'avoir châtier et de prendre de votre temps pour mon dressage.



Votre marque d'appartenance


Un nouveau tatouage
Il montre votre passage
Il est à votre image
Oui ! Vous n'êtes pas un Sage !

Il peut déranger
Mais moi je vais l'aimer
Les gens ont piter
Mais je le porte avec fierté
Votre nom sur le coté
Montre votre propriété

Même si il va s'effacer
Je l'aurai bien porté
Le temps qu'il est cicatrisé !
Je vais le regretter
Mais je sais que vous recommencerez
Car je suis votre papier
Vous pouvez y graver
Tout ce que vous voulez
C'est votre liberté

Maître Je vous baise les pieds
Afin de vous remercier
De m'avoir graver
Votre nom au gout salé
Que la sel à bien creusé
Il m'a fait crier

Et m'a bien fait saigner!




Table basse


Table basse

Une succulente sensation de fraîcheur
mais une terrible peur de bouger et de faire tout tomber

J'espère que vous avez bien dégusté vos sushi
comme toujours je suis ravie
de vous avoir servi


votre petit objet Saaha!






Premier shibari suspendu


Voici le premier shibari de Maître Augure. Voici quelques photos








L'art d'Augure mon dos, sa toile...!


Maître Augure me demanda d'aller me préparer pour une séance à la cire chaude.
Il avait déjà allumé les bougies. Je me dirigea vers la salle de bain et me préparais pour plaire au mieux à mon Maître. Pendant que je lissais mes cheveux je l'observais discrètement, par la porte entrouverte de la salle de bain.
Un petit sourire se dessinait sur mon visage, en le voyant impatient d'attendre que je me prépare.
Je savais que je devais me dépêcher, parce qu'il ne tiendrait pas longtemps avant de venir voir ou j'en étais. J'eus raison, je l'entendis arriver et je lui dis ;
 - oui Maître je me dépêche.
 - Ne me fais pas trop attendre Saaha.
Il repartit s'installer sur le canapé du salon. J'ai finit de me préparer. L'adrénaline s'emparait de moi...J'étais encore tremblante de la dernière séance...

Je me dirigeais vers mon Maître comme une petite chienne qui va lui faire plaisir et être docile. Il m'attrapa par ma chaîne (collier), m'emmena dans le couloir et me demanda de m'allonger sur le carrelage, dos sur le sol.
Je n'osais pas m'allonger.
 Ma peau frissonnait déjà au contact de ma chaîne froide qui descendait gracieusement de mon cou.
Maître Augure perdit patience et me demande sèchement de me dépêcher de m'allonger en me disant qu'il m'a déjà assez attendu comme ça. Je me lança...

Je commençais par poser d'abord les épaules et mes fesses mais en me cambrant de façon à ne pas poser mon dos complètement sur le sol. Il rapporta une écharpe et celle-ci me servît de bandeau. Yeux bandés, privée de ce sens mon Maître m'obligeait à en développer un autre : "l'Ouïe".
En continuant à tout préparer pour qu'il ait tout à porter de main il me dit d'un air moqueur :
- Tu as froid Saaha ??
Quand il me dit ça, je pouvais imaginer son visage avec son sourire déstabilisant.
Mais même en l'imaginant cela suffisait à me perturber...
Je lui répondis timidement :
 - Oui Maître...
- Ne t'inquiètes pas je vais te réchauffer Saaha!!!
 Vu l'intensité du ton  je ne doutais pas de ce qu'il venait de me dire.
Il disposa les bougies autour de moi. Mon corps se laissait aveuglement envahir par la chaleur enivrante des bougies, en entendant mon Maître les installer.
Mon esprit devint attentif au moindre bruit, essayant de représenter chaque geste intérieurement.
Le moindre son me laissait imaginative, craintive, et m'excitait délicieusement.
Mes muscles se relâchaient, laissant mon corps épouser le sol. Il commença avec les bougies rouges, celles qui avaient entouré autour de mon corps.
Elles étaient bien chaudes, Maître Augure pouvait commencer sa séance.

Les premières gouttes commencèrent à tomber au dessus de mes seins.
 Une sensation de douleur m'envahis, mais elle fût vite atténuée par le second effet lorsque la cire se refroidissait d'une excitation palpitante.
A chaque débordement il retirait le surplus au couteau en décollant une petite partie et en tirant délicatement dessus, pour que la cire m'arrache les petits poils qui s'étaient accrochés à elle. Mon corps bouillonnait et mon esprit était incapable de penser à une chose.
Il n'était pas satisfait du résultat des bougies rouges qu'il trouvait trop pâteuse. Insatisfait, il me dit qu'il allait faire autrement. J'entendais qu'il éteignait les bougies. Mon corps tremblait de douleur et de plaisir. Je pouvais relâcher tout...
C'est à ce moment là que Maître Augure me versa toute la cire des bougies qu'il avait rassemblé en une seule, dans ma petite culotte. Horrible mais tellement excitant.

Maître me dit de me tourner dans l'autre sens, qu'il veut dessiner sur mon dos. Allongée sur le ventre ma peau frissonnait moins que l'instant d'avant au contact du carrelage. Mon dos devint son papier, son lieu d'inspiration, il lui fallait un crayon.

Il alluma un cierge et me demanda de le tenir entre mes mains. Celui-ci lui servira de plume. La première goutte venait de couler, allais-je pouvoir réussir à ne pas bouger...!? Le dessin venait de commencer.
Je sentais la flamme touchant mon corps me faisant pousser de petits cris ainsi que la cire atteignant ma peau et refroidissant en se figeant lentement!
Cette cire était plus chaude, plus sèche et elle était plus douloureuse quand on tirait dessus. Certains endroits étaient très sensibles et je n'arrivais pas à m'empêcher de bouger.
Ça faisait craquer la cire et mon Maître furieux recommençait.



















La séance fût longue, excitante et mon Maître fier du résultat et moi,
"petite chienne Saaha"
contente d'avoir servie à son Maître.




Une punition méritée


Mon Maître était assis et dégustait le gâteau que je lui avais préparé pour son réveil.
Une fois fini, il me regarda froidement et me demanda de le suivre.
 Il m'emmena dans le couloir vers la pièce que je détestais.
Elle était petite,  sobre et pas du tout rassurante.
Quand je vis qu'il commença à ouvrir la porte et de me dire d'y rentrer, je refusa et m'enfuis dans le premier endroit qui me venu à l'esprit: la salle de bain!

 Il m'attrapa par la laisse qui m'étrangla et me força à y aller en me fouettant et en me donnant des coups de pieds.
J'osai à peine le regarder.
Il me dit de ne pas bouger, qu'il ne voulait même pas m'entendre et qu'il reviendrai lorsqu'il aura besoin de mes services de petite chienne.
La porte se referma à clef et  la frustration commençait à monter en moi.

J'avais volé les clefs des cadenas de ma chaîne quand je suis allée dans la salle de bain. Sans réfléchir aux conséquences, j'ai tout enlevé, mais ça ne suffisait pas à me soulager. Je voulais sortir de cette pièce par tous les moyens.
 J'ai donc fait perdre patience à mon Maître en tapant dans la porte jusqu'à ce qu'il m'ouvre.

Après un ou deux avertissements je l'entendis s'approcher et ouvrir enfin la porte.

 Quand celle-ci fût ouverte je le vis avec son sourire sadique, son fouet à la main me demandant gentiment de sortir.
?
Bien sûr je voyais bien que c'était de l'ironie et que si je sortais j'allais souffrir. Mais jusque là il n'avait pas encore  remarqué que j'avais enlevé ma chaîne.
Quand il la vît posée au sol la colère monta en lui et son ton changea immédiatement. J'étais honteuse de ce que j'avais fait mais il était déjà trop tard.

Je sortis de la pièce en évitant de lui tourner le dos et essaya de lui échapper même si J'avais fait vite le tour de l'appartement et que je savais qu'il n'y avait aucun échappatoire. J'avais peur! Maître Augure était très énervé et m'ordonnait de revenir.
Sans réfléchir je me faufila dans la chambre et me recroquevilla sur le sol.

Il arriva comme une furie et me mit une grosse claque avec de violents coup de fouets mais je les méritais. Je me réfugia sur le lit et il me sauta dessus.
Je me suis débattue par peur de ce qui allait se passer.
Même si je savais dans ma tête que le combat était perdu d'avance.

Il me dit que c'était bien et que je me fatiguerai toute seule en essayant de me débattre et que ce sera encore plus facile pour lui de m'attacher.
Je me suis vite rendu compte qu'il avait raison.
Ce fût encore plus facile pour lui de m'attacher les poignets dans le dos. La tension fût un peu retombée mais son visage restait très froid.
Il m'ordonna de m'allonger sur le ventre et de ne pas bouger.

Oui j'ai désobéis Maître Augure je méritais une  punition.
Maître m'attacha les bras dans le dos en prenant bien soin que je ne puisse pas bouger les épaules et les coudes.
Je me suis retrouvée attachée sans avoir eu le temps de comprendre ce qu'il ce passait. Maître Augure me tira par ma laisse et m'emmena dans le couloir et attacha le  cordage à la barre de suspension. Je me sentais encore plus faible.

Il alla chercher son pied pour poser son synthé et m'ordonna de me coucher dessus en position levrette . Je me demandais ce qu'il me réservait.?
Pour que je reste bien penchée et éviter que je me relève, il accrocha une corde au pied du tréteau  et la fît passer autour de mon buste. Il m'attacha les cheveux avec une ficelle et il  crocheta l'autre extrémité à mes fesses.
Mon cœur commençait à palpiter et une sensation de chaleur commençait à monter en moi. Il était amusé de me voir ainsi et ça terrifiais encore plus.

La punition commença sous la colère de ses coups de fouet. J'avais mal mais je mouillais comme une chienne. ?Il sortit un god de son sac et me défonça la chatte tout en alternant de ses vifs coups de fouet.
Il s'amusait en me tirant les cheveux et le crochet planté dans mon anus.? J'ai joui comme une petite salope!
Ensuite il s'approcha de moi et me fît sucer le god, J'avais ce goût de ma petite chatte et je le suçais en regardant mon Maître!

Mais quelque chose l'énervait en regardant mon cul, il se dit qu'il n'avait pas fini d'écrire son nom, "Augure", sur mes fesses. Il avait marqué une lettre lors de chacune de nos séances de ce weekend  et il ne manquait plus que le "E" à la fin!
Il alla donc chercher une lame de rasoir et fini son chef d'œuvre.
Il était fier de lui. Il me versa de l'alcool et frotta bien sur les plaies encore sanglantes ce qui me fît crier et lui rigolais de ma souffrance.


La punition touchait à sa fin et remercie mon Maître pour m'avoir châtier.
Il me détacha et petit à petit mon esprit et mon corps commençaient à se ressaisir.
Ce fût un long moment intense et de découverte pour ma 6éme séance avec Maître Augure.