J'étais fatiguée et je me préparais à aller me coucher, mais Maître en décida autrement. Au moment ou je me suis levée il m'attrapa et me plaqua contre le mur. Il m'ordonna d'attendre et de ne pas bouger. Maître prît les cordes et m'en attacha une à chaque main et me tira jusque que dans le couloir. Il reprît une autre corde et lia mes chevilles avec, puis une autre qu'il attacha au niveau de mes genoux. Il saisi les cordes ou était attaché mes mains et les fît passer au dessus de la barre de traction et les empoigna.
Il retira les cordes suspendues à la barre de traction et me les rattacha sur mon corps en faisant le tours de mes seins. Maître me poussa un peu dans tous les sens. Je fus un peu déstabilisée et je me sentais vraiment comme un vulgaire objet. Il me demanda de me mettre à genoux, et m'ordonna de le sucer. Humm ce ne fut pas vraiment un supplice.je m'exécuta avec plaisir.
Maître me demanda d'une voix ferme de me relever. Je le regarda et lui dit d'un ton timide que je ne pouvais pas vu la façon qu'il m'avait attacher. Agacé que je ne puisse pas, il me dît que j'étais qu'une incapable, me prit par la taille et me souleva. Maître retira les liens de mes genoux et de mes chevilles. Mais ce n'étais pas pour les ranger mais tout simplement pour les attachées autrement.
Il mît un lien au niveau du genoux et un autre à la cheville mais que sur une seule jambe. Je ne me doutais pas qu'il allait me suspendre sur une jambe. J'étais pas très stable dans cette position. Maître rajouta une corde qu'il attacha dans mon dos et qu'il suspendu elle aussi à la barre. Il partit un peu dans le salon et me dit de l'attendre qu'il va venir s'occuper de moi. En même temps je réfléchissais dans ma tête à sa phrase et me disais que même si j'aurai voulue ne pas l'attendre je n'avais pas le choix vu que j'étais attaché. Je abstenue de lui faire cette remarque. Il revînt avec la cravache et une boite de chocolat que je lui avait offert Maître m'avais attacher la petite boite qu'il avait rempli d'objets pour faire un peu plus lourd. Il me mît une pince sur chaque coté de ma petite chatte et mit un fil de fer pour accrocher celles-ci à la boite. Il avait prît une bougie qu'il alluma et qu'il garda dans ses mains. J'aurai du lui demander mon bâillon. Mais je n'ai pas le droit de réclamer. Maître me fouetta et faisait tout pour que je bouge le plus possible il fit couler de la cire sur le dessus de mon pied. Je ne pouvais pas trop réagir juste subir.
Maître me passa les doigts sur ma chatte j'étais toute mouillée. Il me baisa dans cette position. Il me détacha enfin je pensais que tout était terminé et que j'allais pouvoir souffler, mais Maître en a décidé autrement. Il ne me détacha pas les liens qui entouraient chacun de mes poignets.Il me demanda d'aller dans le salon. Il retira tout ce qu'il y avait sur la table et me demanda de m'allonger dessus. Il m'attacha les chevilles et rattacha mes poignets à la table.
-Ma petite chienne elle est attachée comme une grenouille . Me dît-il d'un air amusé en me pinçant la cuisse.
Une grenouille, je ne suis pas une grenouille. Encore une fois je garde mes commentaires pour moi.
Il reprît la cravache et me mît des coup sur le dessus de mes cuisses et sur la chatte, en frottant parfois la cravache sur ma petite chatte. Je mouillais comme une grosse chienne. Il prît mon objet de torture préféré mais qui me fait complètement perdre le contrôle : le fameux Hitachi. Maître me dit :
-elle va jouir ma petite chienne. Tu aboie quand tu as un orgasme.
Le problème c'est que quand il m'excite trop j'ai tout le temps envie d'aboyer. Je ne voulais pas trop me laisser aller complètement malgré que je ne tenais plus. Maître prit le gode et continua en même temps le vibro. Ce n'est pas juste la mon plaisir devient incontrôlable. Je me laissa aller à mon Maître.
La séance me vida dans tous les sens du terme. Plus de deux heures à jouir, aboyer, crier, gémir, serrer les dents que du bonheur !!
