Shibari et nouvelles cordes



L'attente fût longue mais Maître reçu enfin ses nouvelles cordes. Impatient de les essayer, je lui servi de petit mannequin pour les essais de ses premiers shibari.


voici quelques photos : 






Petit jeu


Maître m'a demandé quelle genre de séance je voulais pour cette fois-ci. Je lui ai répondît que je voulais faire quelque chose que l'on avait encore jamais fait. Je ne m'attendais pas non plus à ce genre de séance. Maître m'a demander de rester dans le salon le temps qu'il prépare tout. J'avais hâte de découvrir ce qu'il m'avait réserver.
Il revînt dans le salon et s'assoit sur le canapé. Il rigolais tout seul. J'essayais d'en savoir un peu plus mais il refusa de parler.
Au bout de cinq bonnes minutes, Maître prît deux cordes dans la petite boite. Il m'en attacha une à chaque cuisse, me tira par mon collier et n'emmena dans le couloir. Deux tendeurs étaient suspendus à la barre de traction. Maître me demanda de mes mettre à quatre patte. Il rattacha chaque tendeur à une de mes cuisse.
Pour commencer à jouer il alla chercher les dés. Un dé vingt et un de cent et prît une balle de ping-pong. Ensuite il nota sur une feuille blanche tous les instruments qui pouvaient être utilisés (fouet, Cat-O'-nine tails clouté, aiguille, vibro, plume, god, queue d'Augure) et pour chacun d'entre eux trois numéros associés.
Le but du jeu était le suivant :
Je devais lancer les deux dés. Le dé de 20 donnait le numéro de l'instrument et celui de cent définissait la durée ou le nombre de coups selon sur quoi ça tombait.
Si je tombais sur le vibro, le god ou sur la queue de mon Maître je devais attraper la balle pour y avoir droit si je n'y arrivais pas je devais relancer les dés. Pour les autres je devais attraper la balle pour échapper à cette punition.

J'avais 30 secondes pour attraper la balle,

Le jeu commença !
A regarder comme ça ça avait l'air simple, mais en commençant à jouer je me suis rendue compte que c'était bien plus difficile que ça en avait l'air. Quoi qu'il se passait il fallait que j'attrape la balle.

De grands moments de plaisir et de déceptions ! Des moments de déception, quand j'étais à deux doigts de l'attraper et que par un mauvais geste je la faisait partir encore plus loin. Parfois elle revenait en arrière mais pas assez près pour que je puisse l'attraper. J'avais la rage.
Des moments de plaisir quand j'arrivais à l'attraper et que c'était la queue de mon Maître ou le god qui était en jeu ou quand je pouvais échapper à une punition. La chance n'était pas toujours avec moi car je suis plus souvent tomber sur les aiguilles et les fouets.

Au bout d'un moment je commençais à m'épuiser et à faire ma mauvais joueuse parce que je ne voulais plus jouer. Je ne voulais plus lancer les dés mais Maître me dit que si je ne les lançaient pas il mettrait les dés sur ce qu'il voulait. Cela suffisait à me convaincre de les relancer.
Après je ne voulais plus attraper la balle. Je me prenais les punitions systématiquement, mais je continuais à essayer de l'attraper quand je voyais que les dés tombaient sur quelque chose que j'aimais bien.











A la fin de la séance j'étais épuisée ! Oui courir après la balle ça fatigue hein !!

J'ai adoré ce jeu sauf quand je perdais ! Hihihi ! Je vous remercie Maître pour cette séance.

Mon collier, je l'ai enfin mérité


Cela fait une peu près deux mois et demi que je suis avec Maître Augure.

Jeudi un avis de passage à été déposé dans la boite aux lettres. Il fallait attendre le vendredi pour aller chercher le colis. Je m'attendais à ce que ce soit les cordes ou le vibro qu'il avait commandé. Ce matin Maître alla à la poste pour retirer le colis. J'étais impatiente de voir lequel des deux allait arriver en premier. En rentrant à la maison Maître posa le colis sur le bar. Je pensais que c'était le vibro. Je le porta et le secoua pour essayer de voir ce que c'était, Mais il était bien trop léger pour que ce soit ça.
Maître me dît:
-non mais ce n'est pas le vibro c'est un truc que j'avais commander pour moi.
J'étais déçue. J'étais tellement impatiente d'essayer les nouveaux jouets. Pas grave je passa à autre chose.


Dans l'après midi je suis allée prendre ma douche. pendant ce temps là, Maître déballa le colis et cacha ce qu'il se trouvait à l'intérieur dans la petite boite de chocolat posée sur la table. Je ne m'aperçus de rien bien sûr.

En fin d'après midi Maître me fît une séance. Après celle-ci il me demanda de m'asseoir à genoux. Il me parla pendant deux longues minutes de notre relation. Puis il alla chercher les clefs des cadenas de ma chaîne et commença à me détacher.
Je le regarda inquiète et lui dit :
-Maître, pourquoi me détachez vous ? Nous sortons ?
J'avais peur qu'il me quitte et me dise de partir,, mais pourquoi qu'avait-je fait !!
-Non nous ne sortons pas Saaha !!
-Mais alors pourquoi vous me détachez ?
Il fît comme si il n'avait pas entendu et continua de retirer la chaîne qui entourait mon cou.Je ne savais plus quoi penser.
Puis il prît la boite posé sur la table et me la tendît. Mon sourire revint en voyant la boite.
A l'intérieur ce trouvait un collier. Celui qui allait remplacer ma chaîne. J'étais vraiment contente.


Barre d'écartement



Dans l'après midi Maître eut une nouvelle envie. Il alla chercher sa perceuse dans le placard. Au début il perça des trous dans le manche à balai, mais insatisfait de ne pas pouvoir le mettre dans le couloir vu sa longueur, il s'empara un morceau de bois un peu plus petit qu'il perça à son tour. Après avoir finit, il me demanda de nettoyer le sol. Maître mît le morceau de bois de côté pour l'utiliser plus tard.

Quelque heures plus tard, Maître décida de me m'offrir une séance. Il me prît par ma chaîne et m'emmena à quatre pattes dans le couloir, et me demanda de me lever et de tenir la barre de traction. Pendant ce temps il attacha mes chevilles avec la barre d'écartement. Mes jambes étaient bien écartées. Ensuite il passa un lien autour de mes poignets qu'il relia à la barre d'écartement, puis à la barre de traction. Je me trouvais debout , les mains se situaient à la hauteur de mes hanches. Maître prît une aiguille et s'amusa à me piquer un peu partout. c'était insupportable.



Quand il se lassa de  ma position, il tira sur la corde avec un système de poulie, je me suis retrouvée bien penchée, cambrée et le cul bien tendu offert à mon Maître.
Une corde passait entre mes fesses. Maître alla chercher son fouet bleu et commença à me fouetter. Entre quelques coups de fouet je sentais sa main caresser ma peau avant de recommencer à nouveau. Il m'avait mît mon bâillon et ne pouvant pas fermer complètement le bouche je bavais comme une chienne et je ne pouvais que la regarder tomber sur le sol. J'étais gênée.

Il alla chercher le petit vibro et joua avec mon clito en alternant avec les coups de fouet. Mon clito était déjà trop excité et j'avais du mal à me contenir au contact du vibro qui venait titiller celui-ci.
Mon corps tremblait de plaisir. Ce fût un moment délicieux. Je sentais la chaleur des coups donnés sur mes fesses. Cela fait un bon moment que Maître s'occupe de moi et il me laissa d'un coup planté là et s'en alla s'installer dans le salon. Je continuais à gémir tellement il m'avais fait jouir et mouiller .









Au bout de 10 bonnes minutes Maître vînt me libérer.
Je pouvais enfin parler et mon corps était enfin libre. Je remercie mon Maître pour cette délicieuse séance...

Suspendue au tuyau


Non, non, non !!
Saaha n'est pas tout le temps punie pour une fois je méritais cette séance. Je me suis tenue sagement et mon Maître m'a accordé ce plaisir. Maître Augure voulait m'attacher les jambes suspendue et écartées. Il hésita à m'attacher à la barre de suspension, mais finalement son choix se porta sur le tuyau en haut du mur du salon.

Avant qu'il commence à m'attacher je mouillais déjà d'envie et d'excitation. Les liens s'enroulèrent petit à petit et emprisonnèrent mes jambes et mes bras ensembles. Il attacha ces cordes au tuyau suréleva mes jambes l'une après l'autre et prit le petit vibro que je préfère. Il sait que je ne tient pas longtemps avec celui-ci avant d'atteindre l'orgasme. Tellement bon, mais aussi très dur de se laisser perdre le contrôle de son esprit.

Maître regarda mes mains et me dit qu'il avait un peu trop serré les liens que la séance ne durera pas longtemps, et me demanda si je voulais quand même faire la séance. Quelle question bien sur que oui je la veut cette séance... ! Je lui répondit :
-Oui Maître ce n'est pas grave. J'étais tellement excité que je pouvais faire abstraction de ce détail.
Il me dit calmement :
-Je vais chercher quelqu'un pour te voir à la cam pour qu'il voit la grosse salope que tu es.
Mes pommettes devinrent rouges de honte mais j'étais encore plus excité de me faire mater par un gros pervers.
La séance commença doucement Maître jouait avec le vibro et me parlait en même temps, me disant que je mouillais comme une grosse chienne... ! Chacune de ses paroles m'excitais encore un peu plus.

Il me mit des fessées sur mes cuisses et sur ma chatte. Mes jambes commençais à rougir sous ses coups. Une fois mes cuisses et ma petite chatte bien chaude il augmenta la force de ses coups. Il me lisait ce que l'homme à la cam disait. Le mélange de ses paroles de douleur et l'effet du vibro me faisait perdre totalement le contrôle. Je n'en pouvait plus de jouir comme une salope. Maître continua en prenant le god et me l'enfonça dans la chatte et me la défonça. Je me suis abandonnée complètement.....

Après de longs moment passés à jouir et à rougir, la séance pouvait toucher à sa fin. Maître regardais mes cuisses et fut amusés des grosses marques qu'il avait laissé de ses mains et me dit fièrement :
-En plus, je ne me suis même pas fait mal aux mains en te frappant.

La douleur de mes mains trop serrées se réveillait progressivement. Maître prit quelques photos et me détacha. Je mis un petit moment avant de retrouver complètement mes esprits.






Mon Divin Maître je vous remercie encore pour cette séance, pour m'avoir fait rougir mes cuisses et ma petite chatte, de vous être occuper de moi.