Rouge


Rouge

comme la cire qui coule sur ma peau
comme la couleur de ma peau quand la flamme me parcours
comme mon visage qui se colore à chaque goutte refroidissant sur mon corps
comme mon sang fusionnant dans mes veines
comme mes lèvres qui vous baise les pieds pour vous remercier




Jeu de main


J'étais dans la cuisine et je finissais tranquillement et silencieusement de ranger la vaisselle. Maître comme d'habitude quand il s'impatiente et qu'il ne m'entends pas, vient voir ou j'en suis. Cela me fait toujours sourire. J'aime bien le voir arriver avec son petit air diabolique en faisant style je viens juste voir par curiosité. Il s'approcha de moi et mit ses mais sur mes hanches en me rentrant bien ses ongles dans ma peau. J'étais d'humeur taquine et essaya de le chatouiller. La réaction fût immédiate je me pris une claque.
Je le regardais comme une petite chienne le dévorant du regard « grrr » !!
Il me regarde sadiquement et me dit :
-Ahh saaha tu veux jouer, on va jouer
Je lui répond sans réfléchir :
-Non Maître je ne veux pas jouer
Oups ! J'ai dit non !
-Saaha tu me dis encore non. Me répondit t-il furieusement.
-Heu... Maître je vous demande pardon . Répondis-je en murmurant.
Avant qu'il ai le temps de répliquer, j'essayai de me glisser entre ses jambes pour m'échapper.
Il pouffa de rire et me bloqua en serrant ses pieds et me dit :
-Tu compte encore t'échapper Saaha !!! Viens par ici sale petite chienne !!!
Il m'attrapa par ma chaîne qui me sert de collier et me traîna jusqu'au salon. Décidément je ne compte même plus les fois ou il me traîne.

Arrivés au salon Maître alla chercher les dés et me les fît lancer. Le résultat final fût 160. Il réfléchit quelques secondes, puis me dit qu'il avait fait son choix. Ce sera 160 pinces. Je suis restée bouche bée.
Il prit les liens dans la boite et me fît un shibari entourant mes seins, qui repartait dans le dos et m' attacha une à une mes chevilles sans les relier entre elles.


Ensuite Maître me demanda de m'allonger au sol sur le ventre. C'est extrêmement difficile de se coucher en ayant les mains attachées dans le dos mais je m'exécutais !
Il se moqua de moi en voyant que je devais me laisser tomber un peu comme une larve. J'étais un peu gêné de son rire moqueur.

Maître continua son bondage en relevant mes pieds et en les rattachant au reste. C'était enfin fini. La position était assez contraignante mais pas trop douloureuse. J'avais avouer à mon Maître quelques heures auparavant , que les fois précédentes j'avais un petit plumeau dans mon sac et que j'avais pris soin de m'abstenir de lui dire. Du coup il l'utilisa pour cette séance. Il me chatouillait les endroits ou je suis le plus chatouilleuse et me décoiffais avec joie.


J'étais énervée et le suppliais de cesser cette torture. Puis il me dît :
-Au fait Saaha, tu aimais bien quand ta mère te faisais des palmiers avec tes cheveux quand tu étais petite. Je détestais Oui !!
Je lui répondît d'un ton honteux :
-Maître !! vous n'allez pas me faire ça , vous savez que je détestais ça. Ce n'est pas toujours bon de confier les moments les plus honteux de son enfance à son Maître. Retenez le chers soumis(es) !!
_ Si Saaha !!je vais te faire un beau palmier sur la tête tu va voir tu va être belle me répondît-il ironiquement.
La honte totale à ce moment la je sentais mes oreilles chauffer tellement j'étais humiliée, pensant déjà aux photos que j'allais devoir mettre sur mon blog et énervée qu 'il touche à mes cheveux .
Il serra bien fort la ficelle qu'il utilisa pour nouer les cheveux. J'imaginais le nombre de cheveux qu'il m'avait arracher dans la brutalité de ses gestes.


Maître attacha la corde au shibari. Je ne pouvais plus poser la tête au sol sans m'arracher la moitié de mes cheveux. Dans cette position il pût facilement continuer son jeu pervers.

Au bout de longues et interminables minutes, j'étais soulager de le voir s'arrêter et d'aller chercher l'appareil photo. Les clichés furent rapides comme d'habitude Maître ne s'attarde pas. Enfin mes cheveux étaient libres et mes pieds aussi, mais le jeu n'avais pas encore commencer, j'avais lancer les dés je l'avais presque oublier mais pas lui. C'est reparti pour la barre de traction. Je me retrouvais encore une fois attachée et sans issue de secours.

Il mit les pinces 10 par dix aux les endroits les plus sensibles, en commençant sur le dessus de mes hanches. Si il se contentait que des pinces encore ça irait, mais Maître alla chercher le fouet et m'accrocha le petit vibro a télécommande à ma chatte avec su scotch. Il me fouettait surtout le bas des jambes et le haut des cuisses. Maître remettais le vibro en route et repartait dans le salon le temps que les pinces s'habituent à mon corps et me fasse bien mal en les retirant. Quand il les enlevaient il tirait dessus sans les ouvrir. Je faisais un petit saut et poussait un petit cri a chaque fois. Puis reprenait son fouet et me faisait bien crier. Il dût me mettre un bâillon. J'essayais d'éviter chaque coup de fouet mais aucun me ratait. J'avais tellement tourner sur moi même, que mes poignets me lançait et commençaient à avoir des fourmis et Maître me dit en ricanant :
-Allez Saaha montre moi comment tu danse.


Il me donnait un coup sur chaque jambe à tour de rôle. Je dansais mais je pleurais à moitié. J'avais le corps humide et ma chatte bien mouillée. Au bout d'un moment avec les trois tortures en même temps je craquais complètement et mon Maître laissa durer mon supplice un bon moment avant de me libérer. J'avais envie de m'écrouler par terre tellement je n'en pouvait plus. Maître reprît quelques photos et je le remercia pour ma punition et mon dressage.



          





Ce que j'ai retenu de cette punition c'est qu'a chaque fois que je joue avec mon Maître je perds! Vais-je m'arrêter ? Je ne le sais pas encore. Le jeu fait mal mais reste délicieux...
Une très bonne punition ! Je vous Remercie Maître Augure  

Ebi


Comme à mon habitude je suis toujours une petite esclave qui à du mal à tenir la position demandée par mon Maître.
A force de gesticuler dans tous les sens cela l'agaça très vite et la punition ne se fît pas attendre.Il se leva d'un trait et alla chercher les cordes de bondage. Je partit rapidement dans mes pensées en me disant que j'allais encore passer un douloureux moment. Mais après tout j'aime ça souffrir!

Maître m'attacha en position assise, les jambes en tailleur. Mes bras derrière étaient attachés derrière ma tête et mon épaule me fît rapidement horriblement mal. Oui! Des crampes ça arrive mais ça n'amusait que Maître Augure. Une ficelle était glissée entre mes lèvres et elle m'excitait déjà. La douleur me faisait trop mal à l'épaule et devenais insupportable. J'essayais de la soulager, mais quand je tirai pour détendre mes bras, la corde se tendait encore plus sur ma chatte et me faisait pousser un petit cri de douleur. Maître me dît sévèrement d'arrêter de me plaindre.

Il se muni d'une plume et s'amusa à me chatouiller. Je remuais dans tous les sens sans pouvoir au final avoir la possibilité d'échapper a cette torture horrible. Je hais les chatouilles et Maître s'en amusait.

A force de le supplier Maître me détacha le lien qui était relié avec les cordes qui entouraient mes hanches ainsi que les jambes. Je croyais que la séance se terminais et commençais à me sentir soulagée. Encore une fausse joie, à force je devrais savoir que quand mon Maître me punît les punitions ne sont pas de courtes durée. Que m'avait-il encore réservé, qu'avais-je encore fait, les questions me trottèrent dans la tête.

Il me demanda de le suivre dans le couloir et me rattacha les mains à la barre de suspension. Il me dît qu'il en avait marre que je soit une petite salope irrespectueuse, que je lui avait encore mal parler par téléphone et que j'avais encore manquer de respect à une autre Maître, que j'allais être fouetter pour mon irrespect. Le ton de sa voix avait changé. Il était glacial ce qui fît ressentir un sentiment de frustration et de honte d'avoir fait ce que j'ai fait.

Les coups de cravaches sifflotèrent avant de frapper et rougir ma peau. Au début les coups commencèrent assez calmement puis la fréquence s'accéléra très vite et devinrent de plus en plus fort. Ma peau était violine par endroits et les marques commencèrent déjà à gonfler.

Arrivé à la fin de cette punition, on aurait pu faire cuire une œuf sur mon corps tellement il était bouillonnant. Maître me détacha enfin les mains et je me prosterna à ses pieds afin de le remercier pour ma punition.




La séance fût longue et bien douloureuse. Mon corps lui, était bien marqué de la cravache de mon Maître .








Mauvaise blague


Je voulais taquiner un peu mon Maître en prenant les clefs posées sur la table et faire semblant de partir. Il m'a pas cru forcément! J'ai pourtant essayer de ne pas faire de bruit en marchant à quatre pattes jusqu'à la cuisine pour m'y cacher. Maître ne mit pas longtemps à se lever et venir voir ou je me trouvais.



Il me demanda de me relever, m'attrapa par le cou et me colla contre le mur, puis me dit:
-Alors comme ça tu veux t'échapper ma petite salope?
-Heu... je ne veux pas m'échapper Maître je voulais simplement vous faire croire lui répondis-je d'une voix hésitante.
-Tu ne dois même pas à y penser! c'est comme si tu l'avais fait! Affirma-t-il en me fusillant du regard.
Allez !!! dépêche toi viens par ici, sale petite chienne je vais te faire passer ton envie de t'échapper.

Il me traîna jusqu'à la chambre et me jeta sur le lit :
-A quatre pattes petite chienne, ne bouge pas je reviens! Son petit sourire sadique se dessinait déjà sur son visage.

Il revînt muni des liens et de quelques pinces ainsi qu'une bobine de fil. Il m'attacha les mains dans les dos reliés à mes pieds. Il m'attacha sur ma chatte des pinces, ce qui me fît pousser un petit cri au moment ou il me pinça.

Maître prit la bobine de fil et relia un petit fil au bout des pinces qui allait de chaque côté le long de mon corps. A chaque fois que je bougeais une jambe les pince tiraient sur ma chatte et laissait place à une douleur intense.
Maître reprit une plume et me chatouillais en même temps pour que je m'agite un peu et que ça me fasse encore plus mal. Mes yeux étaient remplis et ne demandaient qu'a couler. Maître jouait avec ma petite chatte en s'amusant à me goder avec une bougie. Je gémissais comme une chienne.


 La punition toucha à sa fin. Je remercia mon Maître comme il se doit.







Encore une belle punition méritée je dirai. Les chatouilles sont vraiment horribles pour moi et si je bougeais
cela devenait encore plus douloureux. J'ai donc essayer de ne pas trop bouger sous la torture mais c'est impossible en fait !!


Du changement





Maître Augure s'est rendu compte que ses punitions me faisaient trop plaisir. Il n'a pas tort j'aime les punitions qu'il me donne même si celles-ci sont douloureuses au contraire... !
Il a décider de changer sa façon de procéder en m'en parlant avant et me demandant ce que je voulais être .
Une soumise qui fait exprès d'entraver les règles pour avoir une punition, ou être une soumise qui obéis à son Maître et qui le sert au mieux.
Cette question me fît me remettre en question. Oui j'aime ses punitions mais je n'aime pas lui désobéir.
Ma réponse fut bien sur la deuxième proposition. Je dois faire plaisir à mon Maître et non pas à moi. Je prend du plaisir en lui en donnant avant tout.

D'un ton calme mais d'un regard assez froid, Maître me dit alors qu'il allait changer sa façon de procéder. Vu que jusqu'à maintenant ma façon de t'éduquer ne fonctionne pas comme je le veux, Je vais te donner des punitions que tu n'aime pas à partir d'aujourd'hui me dit-il.

On pouvait lire l'inquiétude dans mon regard. Je lui demanda quel genre de punitions allait-il me donner. Maître me cita quelques exemples comme m'enfermer dans le noir, me décoiffer, m'attacher les jambes et les pieds pendant que je cuisine, me bâillonner ..! En effet ce sont des choses que je déteste et dont certaines me rendent folle.


Après ce changement, aujourd'hui c'est vrai que je n'ai moins envie de désobéir quand je sais un peu près à quoi m'attendre. Maître Augure a déjà mit en exécution certaines punitions et je n'ai vraiment pas envie d'être punie...


Divin Maître je vous remercierai jamais assez pour mon dressage.

Petite suspension

Voici une des premières suspensions de Maître Augure. Les cordes n'étaient pas adaptées mais la position était intéressante.










Shibari de chasteté


Je faisais le ménage et j'étais très calme et silencieuse pour une fois.

Maître Augure m'appelle me dit :

-Saaha viens ici !

Avec mon Maître je ne sais jamais à quoi m'attendre vu qu'il ne me dit pas ce qu'il m'a préparé à l'avance.

Il sort une corde et me fait un Shibari.

Une fois fini, il me dît que je pouvais me rhabiller et retourner à mes occupations.

Je mouillais comme une petite chienne malgré que la corde me faisait mal à ma petite chatte et entre les fesses.
Maître Augure m'a dit qu'il me le ferai plus souvent car au moins je me tient droite et il apprécie que j'ai une belle posture.
Je l'ai gardé tout l'après midi et ce fût un délice malgré la douleur.




Scarification cat-o-nine tails clouté


Maître Augure prît un papier et un stylo pour trouver le nouvelle scarification qu'il pouvait me faire dans le dos. Il avait déjà une idée précise de ce qu'il voulait. Pendant de longues minutes il fît des essais sur papier et quand il fût satisfait, me demanda ce que j'en pensait.
Le dessin me plaisait mais je le trouvait quand même un peu gros. Pas parce que j'eus peur de ce que les gens allaient penser, mais je savais que la lame allait parcourir mon corps plus longtemps.

Maître ne changea pas d'avis pour autant. Il voulait qu'il soit de cette taille et pas autrement.
 Ce qui me faisait me rappeler ma première règle: Il ordonne, j'obéis.

 Il me demanda de m'installer sur le lit pour dans un premier temps le dessiner au feutre. Je bougea un peu trop à son goût ce qui le fût râler.
Les lignes se dessinèrent et dans ma tête, je m'imaginait déjà serrant les dents sous les passages des coups de lames. Une fois le brouillon terminé Maître me demanda d'aller voir le résultat dans la glace de la salle de bain. Cela ne me rassura pas, au contraire, il ne fît qu'augmenter mon stress.
Je sus que j'allais devoir souffrir mais j'étais très impatiente de voir le résultat.

La séance se déroula dans le salon. Maître Augure savait par les expériences précédentes que je n'allais pas tenir en place et bouger. C'est pour cela qu'il m'attacha de façon à pouvoir réaliser son œuvre, sans être dérangé toutes les cinq minutes par sa petite chienne qui bouge sans cesse. Il m'attacha à la table basse. Les pieds attachés à mes cuisses et les bras attachés vers le bas. Le tout relié ensemble avec une corde qui était liée aux deux pieds de chaque côté ainsi que ma chaîne(collier), verrouillée avec un cadenas pour que je ne puisse relever la tête.

Il commença son œuvre! Je ne pût m'empêcher de crier à chaque coup de lame écartant délicatement ma peau, laissant couler mon sang le long de mon corps. J'essayai de me détacher sans aucun succès.  Voyant que je fît trop de bruit Maître Augure me demanda si je voulu un bâillon.
Je lui répondît sans hésiter que oui en me disant que dans celui-ci je pourrai crier ouvertement, sans déranger et réveiller tous les voisins. Celui ci ne calma pas ma souffrance. Mon corps transpirait et ma respiration s'accélérait.
Je souffrais et mon cerveau ne pût pas penser à autre chose. Les secondes devinrent des minutes et les minutes des heures. Mon visage était rouge à force de contracter mes muscles. Les endroits les plus insupportables furent le creux de mes omoplates et le milieu du dos.

La fin fût moins douloureuse lorsqu'il fît les finitions. Il caressa doucement le dos en me disant que c'était terminé et de me calmer. Ses paroles me rassurèrent et bêtement je me lâcha et me mit à pleurer. Il s'approcha pour me détacher et la il me dît :
-Attends Saaha je n'ai pas tout à fait terminé.

Je me demandai ce qu'il avait oublier.

Il alluma une cigarette et je compris tout de suite que j'allais encore souffrir un petit moment.
Il me demanda de tirer quelques lattes dessus pour chauffer la cigarette.
Maître me regarde et me dît :

-Oui Saaha! Il faut bien que je fasse les bouts du fouet.

Aïe ! A chaque fois qu'il m'écrasa la cigarette sur le dos je serai les dents et le suppliai d'arrêter. Ensuite il partît dans la cuisine et revînt avec le gros sel et une bouteille d'eau ,qu'il me versa sur le dos et frottant bien , pour qu'il pénètre bien à l'intérieur. La douleur était pas aussi insupportable que pour la gravure mais ça me brûlait horriblement.

Il pouvait maintenant me détacher. Il me regarda et rigola en voyant ma tête. En même temps il n'avais pas tort j'avais une tête de bisounours avec mon maquillage coulant sous mes yeux et en lui lançant un regard de cocker.

Au fur et à mesure qu'il me détacha Je fût impatiente de me regarder dans la glace. J'eus du mal à me tenir sur mes jambes mais l'impatience me faisais presque oublier la douleur. Mais avant cela il fallait prendre une douche pour enlever la couche de sel que j'avais sur le dos.




Le résultat était très beau.
Maître Augure admira mon dos et fût fier de son travail.


Le résultat

 Les jours suivants mon Maître pouvait me punir juste en tapotant sur mon dos la douleur était pire que celle de son fouet!

Je vous remercie Maître pour cette belle gravure.



 Quelques jours après