Scarification cat-o-nine tails clouté


Maître Augure prît un papier et un stylo pour trouver le nouvelle scarification qu'il pouvait me faire dans le dos. Il avait déjà une idée précise de ce qu'il voulait. Pendant de longues minutes il fît des essais sur papier et quand il fût satisfait, me demanda ce que j'en pensait.
Le dessin me plaisait mais je le trouvait quand même un peu gros. Pas parce que j'eus peur de ce que les gens allaient penser, mais je savais que la lame allait parcourir mon corps plus longtemps.

Maître ne changea pas d'avis pour autant. Il voulait qu'il soit de cette taille et pas autrement.
 Ce qui me faisait me rappeler ma première règle: Il ordonne, j'obéis.

 Il me demanda de m'installer sur le lit pour dans un premier temps le dessiner au feutre. Je bougea un peu trop à son goût ce qui le fût râler.
Les lignes se dessinèrent et dans ma tête, je m'imaginait déjà serrant les dents sous les passages des coups de lames. Une fois le brouillon terminé Maître me demanda d'aller voir le résultat dans la glace de la salle de bain. Cela ne me rassura pas, au contraire, il ne fît qu'augmenter mon stress.
Je sus que j'allais devoir souffrir mais j'étais très impatiente de voir le résultat.

La séance se déroula dans le salon. Maître Augure savait par les expériences précédentes que je n'allais pas tenir en place et bouger. C'est pour cela qu'il m'attacha de façon à pouvoir réaliser son œuvre, sans être dérangé toutes les cinq minutes par sa petite chienne qui bouge sans cesse. Il m'attacha à la table basse. Les pieds attachés à mes cuisses et les bras attachés vers le bas. Le tout relié ensemble avec une corde qui était liée aux deux pieds de chaque côté ainsi que ma chaîne(collier), verrouillée avec un cadenas pour que je ne puisse relever la tête.

Il commença son œuvre! Je ne pût m'empêcher de crier à chaque coup de lame écartant délicatement ma peau, laissant couler mon sang le long de mon corps. J'essayai de me détacher sans aucun succès.  Voyant que je fît trop de bruit Maître Augure me demanda si je voulu un bâillon.
Je lui répondît sans hésiter que oui en me disant que dans celui-ci je pourrai crier ouvertement, sans déranger et réveiller tous les voisins. Celui ci ne calma pas ma souffrance. Mon corps transpirait et ma respiration s'accélérait.
Je souffrais et mon cerveau ne pût pas penser à autre chose. Les secondes devinrent des minutes et les minutes des heures. Mon visage était rouge à force de contracter mes muscles. Les endroits les plus insupportables furent le creux de mes omoplates et le milieu du dos.

La fin fût moins douloureuse lorsqu'il fît les finitions. Il caressa doucement le dos en me disant que c'était terminé et de me calmer. Ses paroles me rassurèrent et bêtement je me lâcha et me mit à pleurer. Il s'approcha pour me détacher et la il me dît :
-Attends Saaha je n'ai pas tout à fait terminé.

Je me demandai ce qu'il avait oublier.

Il alluma une cigarette et je compris tout de suite que j'allais encore souffrir un petit moment.
Il me demanda de tirer quelques lattes dessus pour chauffer la cigarette.
Maître me regarde et me dît :

-Oui Saaha! Il faut bien que je fasse les bouts du fouet.

Aïe ! A chaque fois qu'il m'écrasa la cigarette sur le dos je serai les dents et le suppliai d'arrêter. Ensuite il partît dans la cuisine et revînt avec le gros sel et une bouteille d'eau ,qu'il me versa sur le dos et frottant bien , pour qu'il pénètre bien à l'intérieur. La douleur était pas aussi insupportable que pour la gravure mais ça me brûlait horriblement.

Il pouvait maintenant me détacher. Il me regarda et rigola en voyant ma tête. En même temps il n'avais pas tort j'avais une tête de bisounours avec mon maquillage coulant sous mes yeux et en lui lançant un regard de cocker.

Au fur et à mesure qu'il me détacha Je fût impatiente de me regarder dans la glace. J'eus du mal à me tenir sur mes jambes mais l'impatience me faisais presque oublier la douleur. Mais avant cela il fallait prendre une douche pour enlever la couche de sel que j'avais sur le dos.




Le résultat était très beau.
Maître Augure admira mon dos et fût fier de son travail.


Le résultat

 Les jours suivants mon Maître pouvait me punir juste en tapotant sur mon dos la douleur était pire que celle de son fouet!

Je vous remercie Maître pour cette belle gravure.



 Quelques jours après 

3 commentaires :

Anonyme a dit…

quel gachi d'abimer definitivement une si belle femme...meme soumise , je suis un maitre également et je ne vous felicite pas, et c'est de plus tres dangereux..vous ne merité pas cette femme devouée.
maitre LO

Augure a dit…

Toi un Maître? Laisse moi rigoler j'ai vu ton blog, t'as l'air d'un gros soumis avec ta combi en latex.
Pour toi c'est abîmer, pour nous c'est une marque d'appartenance dont on est fier et, qui plus est, qui est très belle. Elle n'est pas abîmée mais sublimée.

En tout cas, tu juges comme le péquin lambda. Ton ouverture d'esprit est aussi étroit que ton cerveau étriqué dans ta cagoule de latex. Pour quelqu'un qui se dit Maître et pratiquant le bdsm, tu devrais pouvoir faire preuve d'empathie et comprendre que les autres peuvent avoir des envies différentes de toi, tout comme toi tu en as des différentes des autres. Mais apparemment tu n'y arrives pas, ce qui fait de toi quelqu'un d’intolérant et stupide, et certainement pas un Maître.

Anonyme a dit…

SUIVANT !

Une gravure exquise en tout cas!
Bonne continuation à vous.