Une séance riche d'orgasmes



Je ne pensais pas que Maître Augure allait jouer avec moi ce soir-là. Encore une fois je fus un peu trop pessimiste. 

Nous étions installés chacun sur nos ordinateurs. La fatigue m'envahissait.
Maître se leva du canapé et s'approcha de moi avec son petit regard sadique qui me fait toujours autant craquer. Il m’empoigna les cheveux et me tira jusqu'au sol et me contrains de me mettre  à quatre pattes.

 Il me remit à ma place en me disant de ne pas oublier que je suis qu'une petite merde, qui était là pour le servir et qu'il allait faire ce qu'il voulait de moi. En même temps il avait glissé sa main dans mon string et me doigtait ma petite chatte. C'est rare que je mette des sous-vêtements mais là j'en avais envie. 

Maître me baissa mon string jusqu'aux genoux et commença à faire rougir mes fesses avec sa cravache. Il prit un stylo et commença à m'écrire sur les fesses en me citant ce qu'il écrivait, puis me demanda de participer à la petite séance écriture en lui nommant des mots qui me correspondaient. Ce fut un moment humiliant et agréable à la fois. Une fois décorée, Maître me défonça ma petite chatte. Je lui offris bien mon cul et savourai cet instant sauvage...

A peine remise de mes émotions, Maître m'ordonna de lécher le sol en marchant à quatre pattes jusqu’à la chambre. Je tiens à dire que le sol n'avait pas bon goût...

A mon arrivée dans la chambre, Maître exigea que je me dénude et que je  me mette à genoux au pied du lit. Il se munit d'une corde et m'attacha les mains, puis prit une corde pour chaque jambe qu'il attacha aux deux pieds du lit. Pour mes mains il tira sur le reste de la corde et l'accrocha sous le matelas.

Maître rigola de me voir sans défenses et s'amusa avec une corde pliée sur mon cul. Je ne suis pas fan mais ça m'a bien réchauffé les fesses...
Puis vint le moment que j'attendais avec impatience héhé, "l'Hitachi". Il le coinça de façon à ce qu'il puisse me torturer en même temps. Je me concentrais pour ne pas avoir d'orgasmes dès le début mais je succombai vite au puissant et irrésistible vibro.

Maître me mit des pinces sur le cul et sur les hanches. A chaque pince qu'il mettait la douleur me faisais encore plus monter au plafond.
Il se posa sur le lit et m'enfonça sa bonne queue dans ma bouche. J'avais l'impression que j'allais m’étouffer avec car Maître me laissait pas le temps de reprendre mon souffle et l'Hitachi me donnait envie de rugir.

Il revint derrière moi pour m'enlever les pinces et après avoir ôté chacune d'elles, il frotta ma peau. Ce fut un délicieux mélange de douleur et de plaisir. Mon corps et mon esprit furent complètement offerts à mon Maître, qui décida de me baiser encore une fois.

Quand je sentis sa queue me pénétrer j'eus encore un orgasme. Mes yeux avaient du mal à rester ouvert et mon corps tremblait de jouissance....













 Après cette séance j'ai passée une très bonne nuit xD!
Encore merci à vous Maître Augure, je suis très fière d'être votre petite chienne.





Détendue, mais le cul tendu...

Depuis peu, Maître me fait me préparer aux séances en me faisant écouter de la musique. Le but est de me préparer à m'offrir complètement à lui et bien sûr de me préparer  à souffrir.

Maître me demanda de me mettre à quatre pattes, cambrée, me banda les yeux et me dit d'imaginer ce qu'il allait se passer. Des fois je ne veux même pas imaginer. Pendant ce temps Maître préparait la séance.


 Mais avant il installa sur la chaise un petit chauffage d’appoint car je suis très frileuse. La chaleur me pénétrait et je ne voulais plus que cet instant se termine. Mon corps se détendait peu à peu. Je me sentais bien, prête à "presque" tout affronter et j'étais aussi très excitée.

Il mit aussi quelques bougies autour de mon corps. Celles-ci me réchauffaient encore plus. Je savais qu'elles n'allaient pas juste servir pour la déco en connaissant Maître Augure.

Il décora mon petit cul avec un petit rosebud, puis il m'enleva la taie d'oreiller qu'il m'avait mise. Maître m'ordonna de me lever et commença son bondage. Pour les jambes il alla chercher sa barre d'écartement.
Plus Je me sentais prisonnière et plus j'étais excitée. La seule chose qui me déplu c'est quand il attacha une corde autour de mon cou et qu'il relia à la barre.


Maître prit sa cravache et joua sur mon cul avec. Le cul tendu les coups sont plus cinglants, mais mon petit cul se réchauffa très vite et la douleur laissa vite place au plaisir.
Maître s'approcha devant moi avec les pinces à sein. Quand il les attacha un petit gémissement de douleur s’échappa de ma bouche.

Maître avait branché l'Hitachi aussi depuis le début et j'avais hâte qu'il s'en serve. Il le prit dans sa main et me fit couler de la cire sur le dos avec son autre main. Je m'empêchais de faire trop de bruit pour ne pas alerter les voisins mais j'avais qu'une envie c'est de crier. De douleur? Non de plaisir.

Je m'efforçais aussi de bien fermer la bouche pour ne pas baver partout.

Maître revint devant moi et baissa son pantalon. Il mit sa bonne bite dans ma petite bouche de suceuse. J'étais fière d'être aussi son petit objet sexuel. Qu'il se serve de ma bouche pour se faire plaisir.

Maître finit la séance avec le fouet à clou. Ce fut un délicieux moment. Piquant et éclaboussant comme je les aime.
Le moment le plus redouté c'est quand il m'enleva les pinces. Elles sont restées un long moment et j'eus très mal au moment où il les enleva.

 Je vous remercie encore Maître Augure pour cette séance. 

La visite de Monsieur Ludovic


Il y a quelque temps, j'ai fait part à Maître Augure de mon envie de me faire mater en réel pendant l'une de nos séances. Il approuva mon fantasme et se mit donc à la recherche d'une personne fiable et sérieuse. Un Maître, lecteur de notre blog a contacté Maître Augure, en lui énonçant son désir et sa curiosité de voir une séance en vrai. Maître convenu donc d'un premier rendez-vous entre eux pour faire connaissance avec lui. Le contact s'est bien passé et Maître confirma la rencontre pour mercredi soir. 

Le jour venu, je fus assez stressée, mais impatiente d'y être. Monsieur devait arriver aux environs de 21H00.   Vers 20H30 mon angoisse était au plus haut. Mes yeux étaient rivés sur la pendule, regardant les minutes défiler. Je posai quelques questions à mon Maître.

- Maître. Comment dois-je lui dire bonjour? Dois-je le vouvoyer? Comment dois-je l'appeler? 

Maître Augure, m'aida un peu et voulut me mettre en situation en imitant Monsieur. 
Mais je n'arrivais pas à sortir un mot en le voyant s'approcher de moi et je me mis à pleurer car j'avais encore plus peur de mon Maître. 
Maître me calma et ricana discrètement en voyant mes larmes couler. 
Je réussis enfin à lui parler un peu. Mais le résultat restait un peu médiocre. Il me dit que ça ne servait à rien de stresser pour ça et que tout allait bien se passer. 

21H05 l'interphone retentît. Je sursaute. Mon cœur se met à palpiter. 
Maître Augure descendit l’accueillir en bas de l'immeuble. 
Pendant ce temps je restais assise. Dans ma tête je pensais à trop de questions.    
Comment est-il? Mes cheveux sont-ils bien coiffés? Ma jupe n'est-elle pas trop remontée? Mes bas font pas trop salope? Je ne vais pas n’emmêler les jambes et me ratatiner par terre devant lui à cause du stress? Vais-je réussir à l’accueillir? Ma tête allait exploser. 

J'entendis les pas se rapprochaient de la porte d'entrée. Je tirai une grosse latte sur ma cigarette pour évaporer un maximum mon stress. L'homme entra dans l'appartement. Je me leva pour le saluer. Il était plus grand que je l'imaginais ce qui me troubla encore plus. Je bafouillais un peu hésitant dans mes paroles. Je ne savais plus ou me mettre. J'aurais voulu être une mouche à ce moment-là. Monsieur se prénommait Ludovic. Je m'excusai auprès de lui de ma timidité. Maître me soulagea en reprenant la discussion.

Ils s'installèrent sur le canapé et Maître me demanda de servir des bières. Mes mains tremblotaient et mes jambes un peu aussi. Je me forçai donc à les contrôler. Je m'assis au pied de la table, levant quelquefois mon regard. Il m'étais impossible de regarder monsieur dans les yeux trop longtemps. Je suis beaucoup trop timide. 

Il discutèrent un petit moment...
Une fois ma bière terminée, Maître m'ordonna de pousser la table basse vers le fond de la pièce et de prendre la place de celle-ci. Il me donna deux petits coups de cravache pour me faire mettre correctement. 
Il prit le plateau et le posa sur mon dos, et ils continuèrent leur discussion. 
Maître me baissa ma robe et laissa apparaître mes seins, puis remonta un peu le bas. Sa main me titilla un peu le téton. J'étais déjà excitée. J'adore être utilisée comme un petit objet. J'aimais donc faire la table. 
Maître me cravacha un peu lorsque le plateau bougeait un peu trop. 

Maître Augure décida de montrer ses instruments à Monsieur Ludovic. Pendant ce temps j'étais toujours la jolie table du salon. 

J'étais très pressée que la séance démarre. Maître m'enleva le plateau du dos et m'attacha la laisse autour du cou, puis me promena dans l'appartement, sous le regard de Monsieur Ludovic. 
Il me remmena toujours à quatre pattes, jusqu'au salon et me demanda d'attendre à genoux. Monsieur Ludovic allait être aussi le photographe de la soirée

Maître prit la table basse et la mit perpendiculaire au canapé. Il m'ordonna de m'installer assise pour le moment sur table. Il voulut prendre ma robe pour me bander les yeux. En commençant son bondage ma robe ne tenait pas. Il essaya quand même de la remettre en vain. Je lui proposai donc de prendre ma taie d'oreiller. En fait j'adore les taie d'oreiller. et au moins elle ne risque pas de tomber ^-^.
Le bondage des mains terminé, Maître me demanda de mettre les mains derrière la tête et joua un peu avec ma petite chatte je ne pouvais pas voir, le regard de Monsieur Ludovic mais je l'imaginais très bien et c'est très excitant de se savoir regardé et d'entendre tout ce qu'ils peuvent dire. 

Il continua de me bonder les jambes comme une petite grenouille. Je profitais qu'il soit un peu occupé avec mes jambes pour relâcher un peu mes bras. Une fois que je fus transformée en petit rôti Maître me rallongea et m'attacha la corde des mains, aux pieds arrière de la table. 
Mais je suis une soumise qui aime bien tester la solidité de mes liens et la corde n'était pas assez tendue. Elle ne tirait pas assez mes bras en arrière. Je retirai aussi la taie d'oreiller qui me tenait bien trop chaud. En voyant ça Maître eut l'idée de relier la corde de mes mains à mes talons, puis reprît la taie et la remit fortement sur ma tête.










 Monsieur Ludovic s'absenta quelques minutes pour aller aux toilettes. Pendant ce temps je menaçais Maître Augure de crier et d'alerter tous les voisins. Il rigola. Au retour de Monsieur il lui raconta ce que j'avais dit et ils dirent que ce n'était pas grave que j'allais devoir porter un bâillon pour qu'ils soient tranquilles. Ah non pas le bâillon. Maître voulut me le mettre et je me fermai ma bouche. Il me regarda et commença à poser sa main sur mon téton. Il n'eut à peine le temps de pincer que j'avais déjà ouvert la bouche. 

Maître prit un stylo et écrit sur l'intérieur de ma cuisse et sur le côté de mon dos. Il me demanda si je savais c e qu'il y avait d'inscrit. J'essayais de répondre "salope" mais avec le bâillon on ne comprenait rien. Ils ricanèrent en me faisant répéter.

Maître alluma des bougies et les laissa un peu chauffer. Il me frappa le clito avec la cravache. Cela me faisait gémir.

Je l'entendis d'approcher de moi. Il fit couler de la cire en parcourant mon ventre.
Il sortit alors l'Hitachi de sa boîte. Rien que de l'entendre sortir du carton je mouille déjà de plaisir. Il continua de jouer avec la cire en alternant  avec l'Hitachi en l'arrêtant par moments, en faisant attention a ce que je ne jouisse pas.Mais même en petite quantité l'Hitachi me fait monter au plafond. J'eus donc joui. Mais pas le temps d'avoir un orgasme.
 La chaleur de la cire était enivrante. Je faisais abstraction de tout ce qui ce passait autour. jusqu'au moment où Maître sortît le fouet bleu. Je le déteste mais essayai de l’apprécier au mieux. Mais ce soir-là il ne fut pas si terrible que ça. Il continua encore en alternant cette fois-ci l'Hitachi et le fouet. Je n'en pouvais plus. Je sentais mon corps brûlant ne demandant qu'une seule chose de faire défoncer.
Il se réinstalla sur le canapé tout en continuant de jouer un peu avec l'Hitachi pour me garder bien chaude.

Maître ne m'a pas laissé la chance d'avoir un orgasme, heureux de me voir frustrée et excitée comme une grosse chienne en chaleur.

Maître s'arrêta et fuma une cigarette. il l'a prit et commença à me  brûler avec. Je sursautai et poussais des cris de douleur en grognant et essayant de me débattre. Plus je souffrais et plus cela les amusait. Je me sentais comme une petite souris impuissante face à deux chats.

Il se releva et me détacha enfin les jambes, mais j'imaginais bien que la séance n'était pas terminée car il discutait avec Monsieur de l'idée de mettre la table "comme ça". Mais sans voir ça ne me parlais pas beaucoup. Profitant de l'occupation de mon Maître et que je sois presque libérée, je glissai les mains entre mes jambes pour me caresser un peu. Monsieur Ludovic demande à Maître Augure si j'ai le droit de me toucher en temps normal. Maître lui répond que non. Il lui dit qu'il posait la question car j'étais à l'instant même en train de me caresser. Maître m'autorisa un peu à le faire. Je n'eue pas le temps d'en profiter longtemps...

















Maître m'aida à me relever puis à me remettre à me mit à quatre pattes par terre face au canapé. J'avais toujours ma taie d'oreiller sur la tête. Il avait collé un gode ventouse sur la table et m’empala la chatte dessus.Il me clipsa aussi les pinces à seins Je ne voyais toujours pas Monsieur Ludovic mais j'entendais ces commentaires par moments et sentais son regard. Maître me demanda de jouer avec le gode et il me cravacha en même temps
Il m'enleva enfin la taie qui était sur ma tête et se plaça face à moi, installé sur le canapé à me regarder en me regardant prendre du plaisir. Il m’ôta aussi le bâillon et m'autorisa à le sucer tout en me demandant de continuer de jouer sur le gode. Il me cravachait en même temps. Son regard m’excitait et la présence de Monsieur Ludovic aussi. 














Maître voulut que je termine en me mettant le gode dans le cul. Je n'étais pas très motivée et j'avais peur d'avoir mal. Il ne m'écouta pas et décida quand même d'essayer.
Il m'aida en m'écartant les fesses pour bien me l’enfoncer. J'avais mal et Maître prit l'Hitachi pour m'aider. Il ne fallut qu'une petite minute pour me faire changer d'avis et apprécier le gode qui me défonçait mon petit cul. Vers la fin je me traînais limite par terre tellement j'étais épuisée de jouir. 










J'ai beaucoup apprécier la présence de Monsieur Ludovic et je vous remercie d'être venu.

Bien sûr je remercie tout particulièrement mon Maître pour cette nouvelle expérience.