L'art d'Augure mon dos, sa toile...!


Maître Augure me demanda d'aller me préparer pour une séance à la cire chaude.
Il avait déjà allumé les bougies. Je me dirigea vers la salle de bain et me préparais pour plaire au mieux à mon Maître. Pendant que je lissais mes cheveux je l'observais discrètement, par la porte entrouverte de la salle de bain.
Un petit sourire se dessinait sur mon visage, en le voyant impatient d'attendre que je me prépare.
Je savais que je devais me dépêcher, parce qu'il ne tiendrait pas longtemps avant de venir voir ou j'en étais. J'eus raison, je l'entendis arriver et je lui dis ;
 - oui Maître je me dépêche.
 - Ne me fais pas trop attendre Saaha.
Il repartit s'installer sur le canapé du salon. J'ai finit de me préparer. L'adrénaline s'emparait de moi...J'étais encore tremblante de la dernière séance...

Je me dirigeais vers mon Maître comme une petite chienne qui va lui faire plaisir et être docile. Il m'attrapa par ma chaîne (collier), m'emmena dans le couloir et me demanda de m'allonger sur le carrelage, dos sur le sol.
Je n'osais pas m'allonger.
 Ma peau frissonnait déjà au contact de ma chaîne froide qui descendait gracieusement de mon cou.
Maître Augure perdit patience et me demande sèchement de me dépêcher de m'allonger en me disant qu'il m'a déjà assez attendu comme ça. Je me lança...

Je commençais par poser d'abord les épaules et mes fesses mais en me cambrant de façon à ne pas poser mon dos complètement sur le sol. Il rapporta une écharpe et celle-ci me servît de bandeau. Yeux bandés, privée de ce sens mon Maître m'obligeait à en développer un autre : "l'Ouïe".
En continuant à tout préparer pour qu'il ait tout à porter de main il me dit d'un air moqueur :
- Tu as froid Saaha ??
Quand il me dit ça, je pouvais imaginer son visage avec son sourire déstabilisant.
Mais même en l'imaginant cela suffisait à me perturber...
Je lui répondis timidement :
 - Oui Maître...
- Ne t'inquiètes pas je vais te réchauffer Saaha!!!
 Vu l'intensité du ton  je ne doutais pas de ce qu'il venait de me dire.
Il disposa les bougies autour de moi. Mon corps se laissait aveuglement envahir par la chaleur enivrante des bougies, en entendant mon Maître les installer.
Mon esprit devint attentif au moindre bruit, essayant de représenter chaque geste intérieurement.
Le moindre son me laissait imaginative, craintive, et m'excitait délicieusement.
Mes muscles se relâchaient, laissant mon corps épouser le sol. Il commença avec les bougies rouges, celles qui avaient entouré autour de mon corps.
Elles étaient bien chaudes, Maître Augure pouvait commencer sa séance.

Les premières gouttes commencèrent à tomber au dessus de mes seins.
 Une sensation de douleur m'envahis, mais elle fût vite atténuée par le second effet lorsque la cire se refroidissait d'une excitation palpitante.
A chaque débordement il retirait le surplus au couteau en décollant une petite partie et en tirant délicatement dessus, pour que la cire m'arrache les petits poils qui s'étaient accrochés à elle. Mon corps bouillonnait et mon esprit était incapable de penser à une chose.
Il n'était pas satisfait du résultat des bougies rouges qu'il trouvait trop pâteuse. Insatisfait, il me dit qu'il allait faire autrement. J'entendais qu'il éteignait les bougies. Mon corps tremblait de douleur et de plaisir. Je pouvais relâcher tout...
C'est à ce moment là que Maître Augure me versa toute la cire des bougies qu'il avait rassemblé en une seule, dans ma petite culotte. Horrible mais tellement excitant.

Maître me dit de me tourner dans l'autre sens, qu'il veut dessiner sur mon dos. Allongée sur le ventre ma peau frissonnait moins que l'instant d'avant au contact du carrelage. Mon dos devint son papier, son lieu d'inspiration, il lui fallait un crayon.

Il alluma un cierge et me demanda de le tenir entre mes mains. Celui-ci lui servira de plume. La première goutte venait de couler, allais-je pouvoir réussir à ne pas bouger...!? Le dessin venait de commencer.
Je sentais la flamme touchant mon corps me faisant pousser de petits cris ainsi que la cire atteignant ma peau et refroidissant en se figeant lentement!
Cette cire était plus chaude, plus sèche et elle était plus douloureuse quand on tirait dessus. Certains endroits étaient très sensibles et je n'arrivais pas à m'empêcher de bouger.
Ça faisait craquer la cire et mon Maître furieux recommençait.



















La séance fût longue, excitante et mon Maître fier du résultat et moi,
"petite chienne Saaha"
contente d'avoir servie à son Maître.




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