Ne pas tirer la langue!

Je fais encore l'erreur de manquer de respect à Maître Augure en lui tirant la langue. Je sais ce n'est pas respectueux Maître, mais ma langue est sortie toute seule...Je vous taquine, je n'aurai pas dû et mon comportement méritait cette punition.
Ce fut une punition méritée.

 Il me demanda de me mettre en position de demande et clipsa ma laisse un mon cou, puis l'attacha à la table.

Maître alla chercher les pinces dans la boîte et me posa les deux sur la langue en me faisant des remontrances en même temps. Je devais tenir une belle position et ne pas bouger. Mes mains étaient posées sur mes genoux et ouvertes, à genoux et les cuisses écartées. 

Une fois posées, les pinces me faisaient baver et pleurer en même temps. On pouvait entendre la bave tombant sur le sol et formant rapidement une petite flaque. Pendant presque 10 minutes, Maître me laissa avec les pinces et me corrigeait à l'aide de sa baguette à chaque fois que je bougeai de la position qu'il m'avait ordonné de garder.

Une fois la punition terminée les larmes coulaient toujours le long de mes joues. Maître m'ordonna de ramasser la bave sur le sol, avec du sopalin que j'avais laissé échapper de ma bouche. Je n'étais pas fière de moi. Je remerciai dignement Maître Augure qui me dit:

-Ne bouge pas la chienne. 

Il partit dans la chambre et revenu avec un linge et me banda les yeux. Il avait aussi pris une taie d'oreiller qu'il me mit sur la tête comme un vulgaire objet et un bâillon qu'il m’attacha fermement.
 il m'ordonna de me mettre sur le dos, les coudes au sol sans poser les fesses au sol et me fit attendre un petit   moment.
J'étais à l'écoute de tous les bruits et j'arrivais à reconnaître chaque objet que Maître put saisir. Il prit les bougies. J’entendis l'allumette craquer pour les allumer. Je reconnus aussi le bruit de l'Hitachi sortant de sa boîte, prêt à me faire vibrer.
Maître brancha l'Hitachi et joua un peu avec mon clito
La première goûte de cire tomba le long de mon sein, peu de temps après. Je fis un petit sursaut, non pas de douleur mais de surprise car je ne m'y attendais pas. Il posa l'Hitachi entre mes pieds qui étaient en grenouille pour que je continue à prendre du plaisir.

Il m'en fit couler sur les tétons et sur le ventre. Mon corps se tortillait de plaisir et espérait que cet instant soit interminable.
Maître me posa la bougie dans la main et me demanda de ne pas bouger le temps qu'il gratte la cire avec son couteau.
Instinctivement je continuai à jouer avec la bougie et faire couler la cire sur mon corps. Le plaisir ne dura que quelques secondes avant que je me fasse rouspéter. Je repris immédiatement la position initiale en attendant impatiemment qu'il ressaisisse la bougie. Puis il la reprit enfin, la déplaça légèrement le vibro et laissa couler la cire sur mon clito déjà tout excité.
 Ce fut un délicieux plaisir mêlé de douleurs encore plus excitantes.

. Maître me demanda de me mettre les coudes au sol et le dos cambré, lui offrant bien mon petit cul de salope. 

Il prit le gode et me défonça la chatte. Bizarrement je n'appréciai pas trop.
Mais Maître changea vite. Je sentais ses doigts me caresser ma petite chatte. Je sentais aussi la douceur du gant en caoutchouc garnit de lubrifiant, qui recouvrait sa délicieuse main.

Je commençais à prendre plaisir et vraiment me détendre. Ses doigts s'enfonçaient progressivement jusqu'à entrer sa main au complet. 

Je pris un énorme plaisir à me faire fister. Je ne pouvais plus contenir la bave et à laisser s'échapper de ma bouche ballonnée. mes gémissements s'intensifiaient aux insultes que Maître me murmurait. Au bout d'un long moment, Maître se déshabilla et me baisa par terre 

La punition et la séance furent riche en sensation et en émotion. J’apprécie la cire encore plus qu'avant. Je vous remercie Maître Augure de m'avoir punie et d'avoir prit de votre précieux temps à vous occuper de moi .