Tout cul tendu....


Encore une bonne petite séance pour la petite chienne que je suis.

 Maître me ligota les chevilles séparément et les poignets ensemble qu'il attacha au pied de la chaise.
Il prit mon rosebud et me l'enfila dans mon petit cul. Il était très excitant et se réchauffait très vite à l'intérieur.
Je me sentais mal à l'aise dans cette position mais je ne pouvais point me redresser.

-Qu'essayes-tu de faire ma grosse chienne, tu crois que tu vas aller où? Me dit Maître d'un air malicieux.
-Rien Maître! je ne peux pas bouger! lui répondis-je désarmée.

Il saisit le bâillon et me le mit dans la bouche.
Maître prit la baguette et me donna des petits coups sur les fesses. Ses coups n'étaient pas assez forts à mon gout mais je n'osai pas lui dire d'augmenter leurs intensités.
Je ne voyais rien de ce qu'il allait me faire, juste les bruits des objets pouvaient m'aider à discerner quel objet allait me torturer joliment.

J'avais ramené une petite paire de menottes qui ne devait pas servir, parce que c'est de la camelote et que si j'avais envie de me détacher je tirai un coup dessus et elles s'ouvraient. Maître leur trouva vite une autre utilité. Il les attacha aux pinces à seins qu'il avait acheté peu de temps avant, ce qui servit de poids pour celles-ci.

Maître me passa quelque chose autour de ma taille je ne reconnut aucun objet habituel. En réfléchissant je me suis rappelé qu'il m'avait parlé d'attacher l'Hitachi avec des cordes en le raccordant à une ceinture.
Je ne me suis pas trompée!
Maître sortit l'Hitachi deux trois minutes après, ce qui confirma ma réflexion.
Une fois attaché il le mit en marche et alluma une bougie.

Je me crispais à chaque goutte qui tombait sur mon dos. L'Hitachi faisait vibrer mon rosebud en même temps ce qui me faisait mouiller et gémir. La cire qui coulait le long de mon dos me faisait monter mon plaisir aussi.

Douleur et plaisirs s'épousèrent parfaitement et réveillaient encore plus la petite salope qui est en moi.

Maître fît le tour de la chaise et vînt regarder mon visage. La bave coulait sur mon menton. Il prit ma tête, la releva et m'insulta de grosse salope.






Maître continua un peu avec les coups de baguette....

Cette petite séance fût délicieuse. Je vous remercie mon grand Maître de prendre de votre temps si précieux,    pour s'occuper de votre petite esclave.

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